Ce chemin, seule la pénombre de l'automne l'emprunte encore ♣ Benzaiten [Terminée]

■ Information

Nom / Prénom : Benzaiten
Âge : 22 ans
Village : Kumo
Rôle : Shinobi
Clan : / A l'origine elle viens d'un pays assez lointain derrière ce qui sera un jour le sanctuaire du basilic, en bordure de la mer de l'ouest. La famille Oriki (la sienne) est alors composée de samourai et de Shinobi mais ils ne sont pas connu pour des techniques en particulier, seulement pour leur faible loyauté. par ailleurs ils ne portent pas réellement de nom de famille les gens du villages en avait inventé un pour les intégrer plus facilement.


Votre personnage est Chanceux, plein d'un panache manifeste, doté d'un coeur gros comme le monde, n'as pas la langue dans sa poche et relativement dégourdi.
Votre personnage est Intrusif et impudique, alcoolique et gros fumeur, peu polit et relativement vulgaire, capable de causer une catastrophe avec trois fois rien.

■ Histoire

« Il faut sauver Obata Takeshi »

Il y à peu de traditions qui se transmettent de génération en génération dans ma famille. Personne ne sais vraiment si elle à toujours été implanté dans notre village côtier ou bien si elle est arrivée d'ailleurs. Certains disent qu'elle a été fondée par deux déserteurs qui étaient venus se réfugier ici-bas pour échapper à leurs poursuivant. La place du leur plaire parce que mes grand parents, mes parents et moi-même sommes nés et avons grandis ici. Enfin, malheureusement pour moi, nous vivons dans un monde ou le statut social ne peu pas être transgressé c'est ainsi que comme mon père l'avait été avant moi, et son père avant lui, je suis devenu shinobi. J'aurais préféré devenir marchande ou actrice, mais je n'ai pas eu le choix. Dans ma filiation il était écrit que je devais devenir ninja. Étant donné que mon père n'as eu que des filles je suis devenue son « premier fils ». Fâcheusement, pour moi, j'étais douée. C'est à dire que si j'avais été mauvaise on m'aurait sans doutes laissée arrêter, mais comme ce n'était pas le cas j'ai fêté ma fin de scolarité en me faisant tatouer un grade sur le bras puis je me suis entraînée et je suis parti faire la guerre.

Comme la plupart des jeunes de mon âge je dois dire. À cette époque nous étions en guerre avec un village rival qui à, par la suite été complètement rayé de la carte. Ce qu'on ne dit pas, c'est que quant on fait la guerre, on s'emmerde. On vit dans ses camps, tout le monde avait fuit le village, même les civils parce que comme sa position avait été repérée c'était devenu trop dangereux. Donc on vivait dans un campement de fortune qu'un maître de fuinjutsu avait dissimulé derrière une cascade. Goro-san était très doué pour ça. Pour se cacher. C'est peut-être pour ça que après la guerre on l'a pas retrouvé. Il s'est sûrement planqué quelque part. Les batailles c'était pas trop son truc faut dire. Personnellement je crois pas que ce soit le truc de quelqu'un en particulier, mais l'expérience m'a prouvé le contraire. En attendant, pendant qu'on se planque son se fait royalement chier. Les grands manitous de la bande se planquent derrière un grand rideau et ils discutent de stratégie. Pendant ce temps là, nous on joue. Aux dès, aux go ...aux cartes aussi parfois. Après cette histoire nous avons décidé de nous installer à Kumo. Je ne sais pas pourquoi. Mon père racontait quelques foutaise à propos d'être des ninja au milieux de Ninja et de la circulation positive des énergies.

Mais je crois que je devrais débuter mon histoire parce qui m'a amené à cette situation pour commencer. Pas devenir Ninja, non ça c'était mon père. Je veux parler de la situation « Il faut sauver Obata Takeshi ». Je pense qu'on pourrait appeler ça « punition divine » parce que, pour commencer, rien de tout ça ne serait arrivé si j'avais accepter de partir avec l'équipe 4 pour tabasser quelques renégats dans les forêts alentours. Je me suis donc trouvée être la seule restante au village avec un rang assez élevé et un emplois du temps assez vide pour diriger cette mission. C'est de cette façon que je me suis retrouvée avec la pire bande de bras cassé que le village aie jamais porté et cet espèce de riche bourgeois de dieu seul sais quelle ville de péquenauds un peu plus au nord. Obata Takeshi est noble et riche. C'est pas un type comme nous, comme il l'a si bien fait remarquer et s'il à quitté sa ville natale c'est pour rencontrer sa fiancée. Jusque là tout était parfait.  Naturellement, il à fallut que l'un d'entre eux ouvre la bouche.

Je veux dire l’orgueil c'est bien. Parfois. Mais pas cette fois.
Je tiens à dire pour ma défense que, pour cette fois, ce n'était  pas ma faute. C'est Kôsuke qui à frappé le premier. Sur le client en plus. Je ne dirais pas que l'autre ne l'avait pas cherché mais, même moi, je sais qu'il y à des choses qu'on ne doit pas faire. Je ne sais pas à propos de quoi ils se disputaient mais suite à quoi – ainsi qu'une apparente négligence de ma part – nous avons perdu l'objet de notre mission. C'est con hein ? Alors je sais ce que vous vous dites : c'est entièrement ma faute. Certes. Mais je pensais qu'il était plutôt logique pour une petite créature sans défense de rester aux côtés de ceux qu'il à payé – au prix fort en plus – pour le protéger, non ? Je ne penserai pas que ce serai lui qui nous fausserai compagnie.

Bref. Il était parfaitement logique que je finisse par abattre mon poing dans ce qui tenait lieu de paroi frontale à ce crétin fini de Kôsuke. Ce qui à amené à un autre problème. À savoir qu'un Ninja assommé est un homme hors d'usage et que malgré le fait qu'on ne peu pas abandonner un camarade il est totalement exclu de faire échouer la mission. J'ai donc décidé que la troisième-roue-de-notre-carrosse resterai avec le blanc-bec assommé pendant que je partirai à la recherche d'Obata. J'aurais du me douter que c'était forcément une mauvaise idée.

Les types qui le haranguaient sans vraiment savoir s'ils avaient quelque chose à en tirer en ont déduit que si en voyant le ninja que je suis attaquer. Et voilà de qu'elle manière je me suis retrouver à pourchasser précisément les types que je voulais éviter afin de récupérer notre client.

Et pour terminer en beauté cette journée déjà bien pourrie, j'ai perdu mon kiseru en sautant sur une branche moisie durant ma chasse à l'homme.

Je crois que je ne peux pas expliquer combien j'aurais préféré suivre l'équipe 4 tout compte fait.

Pour expliquer à quel point ma vie n'as été qu'une succession de malchance chronique, je pense qu'il faut remonter encore plus loin dans le temps. Je veux dire avant la mission Obata Takeshi et avant même la mention de mon arrivée subite à Kumo à l'age de 14 ans.  Au début de la catastrophe quand mon père Hotei s'est épris d'une danseuse dans une maison close.

Il aurai pu simplement épouser Madame Noh comme le désiraient ses parents mais ce bougre de crétin à décidé de n'en faire qu'à sa tête. Il à donc épousé cette prostituée qui répondait au nom de Sengen, sans doutes qu'il ne savait pas , à l'époque ce que cela impliquait. Je suis née de l'union de cet homme et de cette femme moins d'un an après leurs épousailles dans ce village côtier en plein dans une période troublée.  Deux années après moi ma première sœur Otohime est venue au monde.  Comme si les dieux avaient voulu maudire mon père en fait, mais c'est après la naissance d'Otohime que Hotei à décidé de faire de moi son fils et donc un shinobi , je pense qu'il avait déjà compris que ma mère ne lui donnerai que des filles.  Ce qui ne l'a naturellement pas empêché de retenter la chose quatre fois.

Uzume est née quatre ans après moi et à été rapidement suivie par Kishimojin.  C'est à peut près à la naissance de cette dernière d'ailleurs que j'ai commencer à manifester une particularité qui marquerait définitivement ma vie la faisant entrer de manière irréversible dans un cercle vicieux.

Ma mère Sengen n'était pas née dans une maison de passe mais au sein d'un peuple nomade arrivé de derrière la mer très loin derrière Kumo et n'avait jamais jugé bon de nous parler des particularités de sa famille avant que je ne les manifeste moi-même. Elle raconta comme sa mère – de reste une grande danseuse – était capable de faire apparaître de nulle part des  papillons pourpre qui semblaient être fait d'un cristal très dur lorsqu'elle dansait.  C'est en travaillant avec Taro-san , un expert en Dôton que j'ai du apprendre à m'en dépatouiller seule, car Sengen elle-même était incapable de le faire et elle garantissait que aucun de ses frères ou cousins n'avait été capable d'imiter leur mère ;  ce sont les gens de kumo qui ont nommé cette manipulation du cristal «  Shoton », honnêtement je me moque assez du nom que ça à.

Naturellement , rien de tout cela n'aurait eût lieu si mon père avait simplement obéit à ses parents comme il nous enjoint formellement de le faire mes sœurs et moi-même.  En tout cas il à vite été manifeste que cette capacité faisait de moi un Ninja plus que très intéressant à ses yeux et c'est en partie cette raison qui m'as toujours interdit de mettre fin à ma carrière de shinobi. Pas que je sache faire autre chose, hein.

Pour pousser le vice encore plus loin il à fallut admettre qu'aucune de mes sœur pas même Inari et Kaguya , les deux dernières n'ont manifesté cette habilités et qu'elles ont donc toujours pu vivre pleinement leur petite vie de civiles !

Vraiment, plus le temps passe, plus je me demande si je n'ai pas fait quelque chose de particulièrement horrible dans une vie précédente.